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"Solution Qualité Globale"
CTC est le leader international pour le contrôle qualité, la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), le conseil et la formation pour les entreprises des secteurs de la mode, de la chaussure, de la maroquinerie et de la ganterie.
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« Les analyses industrielles portant sur l’eau permettent de sécuriser les entreprises par rapport à leur impact sociétal et d’aider les acteurs publics ainsi que les institutionnels à réglementer le marché. »
Cédric Gout, Responsable Technico-Commercial
Notre laboratoire d’analyses microbiologiques dispose des accréditations COFRAC et de l’agrément du Ministère de la Santé pour garantir l’ensemble de ses prestations analytiques.
La qualité de l’eau potable est encadrée par la Directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998 et le décret 2001-1220 du 20 décembre 2001, qui fixe les limites et références de qualité pour l’eau potable.
En France, les normes applicables sont définies dans les arrêtés du 11 janvier 2007 et du 21 janvier 2010.
A noter, la parution de la Directive européenne 2020/2184 du 16 décembre 2020 applicable au 13 janvier 2023 en remplacement de la Directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998.
Les analyses d’eau au niveau du réseau de distribution sont de type D1 ou D2.
Analyse de potabilité des eaux de consommation
Les critères réglementaires indiquent des exigences de qualité et des références de qualité.
Les exigences de qualité déclassent l’eau en non conforme avec une consommation interdite et une action impérative (traitement, réparation canalisation…) avec contre analyse pour garantir à nouveau la potabilité.
Les références de qualité sont à titre indicatifs. Elles sont équivalentes à des valeurs recommandées. Une action est conseillée pour retrouver une meilleure maîtrise de la qualité de l’eau du réseau.
La qualité microbiologique de l’eau repose sur :
En complément des analyses régulières permettent de garantir la qualité d’eau distribuée.
Ces bactéries représentent la flore bactérienne totale de l’échantillon. C’est la variation du nombre de bactéries d’un facteur 10 entre deux analyses qui indique une dégradation de la qualité de l’eau, mais pas le nombre. Par conséquent, la présence de ces bactéries ne rend pas l’eau non conforme.
Ce terme rassemble des espèces bactériennes qui vivent dans l’intestin des animaux mais aussi dans l’environnement. Même si ces bactéries ne sont pas systématiquement d’origine fécale, leurs présences dans l’eau n’est pas recommandée mais cela ne rend pas l’eau non conforme.
Ces paramètres sont des indicateurs de contamination fécales. Leur présence indique potentiellement la pollution de l’eau par des bactéries d’origine fécale (ex : Salmonelle). En cas de présence, l’eau est déclarée non conforme.
Ce paramètre en plus d’être un indicateur de contamination fécale, permet d’obtenir un historique sur une éventuelle contamination ancienne du réseau. Cette forme de spore permet à la bactérie de résister aux traitements et de se développer à nouveau lorsque les conditions sont favorables. En cas de présence, l’eau est déclarée non conforme.
En complément de ces analyses microbiologiques, des analyses organoleptiques (odeur, saveur) et physico-chimique (pH, conductivité, turbidité, couleur, chlore, nitrite, nitrate, ammonium, fer, aluminium) sont réalisées.
Pour plus d'information concernant l'analyse de potabilité,
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La légionellose est une infection pulmonaire provoquée par des bactéries du genre Legionella (légionelle).
Trois facteurs doivent être réunis pour provoquer la légionellose :
Ainsi les sources d’exposition sont associées à la création de ces aérosols :
En France, la réglementation repose sur l’arrêté du 14 décembre 2013 pour les TAR et l’arrêté du 1er février 2010 pour les eaux chaudes sanitaires (ECS).
Des mesures d’entretien préventif doivent être mise en œuvre de façon à maintenir en permanence la concentration en Legionella pneumophila inférieur à 1000 unités formant colonies par litre (UFC/L).
Pour éviter le développement de légionelles, il faut agir à trois niveaux :
Prélèvement légionelle et analyse
La Legionella est une bactérie à croissance lente qui nécessite 8 à 10 jours de mise en culture. Lorsque la présence de bactéries du genre Legionella est confirmée, la recherche de l’espèce Legionella pneumophila est systématiquement réalisée. En effet, cette dernière est majoritairement responsable des cas de légionellose.
Si des résultats positifs sont confirmés avant les 8 ou 10 jours, des alertes sont transmises afin d’engager des mesures rapidement.
Conformément aux prescriptions des textes réglementaires, en cas de dénombrement supérieur à 1000 UFC/L les souches bactériennes sont conservées 3 mois afin de pouvoir procéder, si besoin, à des investigations épidémiologiques.
Cette prestation est proposée sur des effluents dans le contexte de la Directive cadre sur l’eau et respecte les arrêtés du 21 décembre 2007 et du 20 mars 2015.
L’écotoxicologie est l’étude des effets des polluants toxiques dans les écosystèmes (ex : pesticides, PCB).
L’utilisation des daphnies permet d’obtenir rapidement des informations sur l’ensemble des polluants des eaux ayant une toxicité suffisante pour inhiber le développement et/ou l’activité des organismes aquatiques.
Ce test permet de révéler une toxicité aigüe c’est-à-dire une toxicité à court terme.
Ces résultats contribuent au calcul de la teneur en équitox/m3. Cette donnée correspond à la quantité de toxicité dans 1 m3 d’eau qui immobilise, au bout de 24 h, 50% des daphnies présentes. Cette valeur est utilisée pour le calcul des modalités d’établissement des redevances pour pollution de l’eau.
Analyse microbiologique : prélèvement et analyses des eaux de consommation
Le test de toxicité sur les daphnies impose de disposer de notre propre élevage de Daphnia magna. Seuls les individus âgés de moins de 24h sont autorisés pour pratiquer l’essai et plus de 100 daphnies peuvent être utilisées par test.
Le choix de cette espèce repose donc sur ses caractéristiques :
Le résultat obtenu est exprimé par le terme CE50-24H qui correspond à la concentration d’échantillon qui inhibe en 24 h la moitié de la mobilité des daphnies mises en expérimentation.